Il existe plusieurs alphabets passant pour « sorciers », généralement à caractère cryptographique.
Sommaire |
L’alphabet thébain
Réputé pour être « l’alphabet des sorciers », l’alphabet thébain serait attribué à Honorius de Thèbes. On l’appelle également « les Runes d’Honorius ».
On le retrouve dans les écrits de Henri-Corneille Agrippa de Nettesheim (XVème-XVIème siècles).
Certains auteurs le préconisent pour la consécration des outils.
Généralement les accents français du type « é » ou « à » ne sont pas notés. Certaines personnes cependant gardent les trémas (« ë », « ï »…) notamment pour les prénoms.[1]
L’alphabet Runique
D’origine Nordique, les runes sont utilisées pour la cryptographie mais aussi pour la divination. Chaque rune a un nom et une signification particulière.
Se référer à Futhark.
Les chiffres d’Agrippa
Ils sont utilisés pour les talismans et sceaux mais aussi pour crypter les chiffres et nombres.[2]
Liens externes
- Police d’écriture theban [1]
- Police d’écriture runique [2]